Le ÔM. Écrit, il se dénomme Ômkára ; prononcé il s’appelle Pránava.
Sabíja samádhi et nirbíja samádhi.
La lignée Tantra.
Les différences sont : la proposition la méthode, la tranche d’âge, le climat émotionnel, le langage, le niveau culturel et l’envergure des enseignements.
Elle augmente considérablement car elle suit son court sans les restrictions intellectuelles, logiques, mnémoniques ou associatives.
Le plus authentique est le plus ancien. Le plus ancien est le Préclassique, qui est aussi pré-védique et pré-aryen. Le plus ancien est de fondements Tantra et Sámkhya. Son nom complet est : Dakshinacharatántrika-Niríshwarasámkhya Yôga.
À travers des véhicules ou « corps » qui ont la même longueur d’onde : dans le plan physique, un corps de matière physique; dans le mental, un de matière mentale; et ainsi de suite.
Non. Selon Patañjali, le but du Yôga est le samádhi. Et selon Sivánanda, « sans kundaliní il n’y a pas de samádhi ». Dès lors, sans kundaliní on ne peut atteindre le but du Yôga.
Ásana Yôga, Rája Yôga, Bhakti Yôga, Karma Yôga, Jñána Yôga, Laya Yôga, Mantra Yôga et Tantra Yôga.
Yôga est toute méthodologie strictement pratique qui conduit au samádhi. Celui qui l’a écrite pour la première fois est le professeur DeRose. On note ce fait car beaucoup de concepts de ce Maitre ont été usurpés par des professeurs de divers pays, qui répètent ses enseignements sans en citer la source.
Préclassique (TS), classique (BS), médiéval (BV), contemporain (TV).
Aucunement. Samádhi est un état que seul le Yôga procure. Yôga est un darshana de l’hindouisme. Nirvana est un terme bouddhiste, et le bouddhisme est une hérésie de l’hindouisme. De plus la racine /sa/ signifie « avec » et la racine /nir/, le contraire ! Seul les occidentaux très profanes commettent la gaffe de confondre les deux, en commettant l’erreur de généralisation qui était à la mode au siècle passé et qui professait : « tout mène au même endroit ».
Après un certain âge, il n’y a plus d’énergie ou de temps suffisant pour atteindre cet état élargi de conscience. Une fois atteint, un tel état se conserve quel que soit l’âge.
Personne. Le SwáSthya Yôga n’a pas été créé, il a été codifié. Le codificateur DeRose a récupéré le Yôga le plus ancien (de fondements Tantra-Sámkhya) et l’a codifié en lui donnant le nom de SwáSthya, terme qui en sanscrit signifie autosuffisance (self-dependence).
Rámakrishna e Aurobindo.
Il ne peut pas en faire partie puisque les premières branches à surgir sont de la période Préclassique alors que le Hatha Yôga a surgi près de 4000 ans plus tard, aux alentours du XIème siècle de l’ère chrétienne.
1. Notre Yôga n’a pas de proposition spiritualiste.
2. Notre méthode de Yôga n’a pas de prétentions thérapeutiques.
3. Le SwáSthya Yôga a une pratique orthodoxe plus complète.
4. La modalité hétérodoxe est extrêmement malléable et adaptable.
Yôga Médiéval et Yôga Contemporain.
Yôga Préclassique et Yôga Classique.
SwáSthya Yôga est le nom de la systématisation du Yôga antique, Préclassique (Dakshinacharatántrika- Niríshwarasámkhya Yôga).
Les occidentaux ont peur de tout, en raison de l’héritage culturel judéo-chrétien et sa charge de faute et de péché.
Ce sont : le physique, l’émotionnel (appelé astral), le mental, l’intuitionnel, et le monadique. Après, l’anupádaka et l’ádi.
Samádhi est un état d’expansion de la conscience, aussi appelé hyper-conscience. Il peut être atteint après plusieurs années de pratique de Yôga. Il y a plusieurs types de samádhi.
Non, ce ne sont pas que des façons de prononcer différentes. Au Brésil et au Portugal, le Yôga et le yogA représentent des choses différentes depuis à peu près 1980.
Non. Les grands Maîtres des Écoles traditionnelles ne reconnaissent pas ces supposées branches de Yôga.