kundaliní est une énergie physique de nature neurologique et de manifestation sexuelle. Les termes libido, orgone et sexualité peuvent désigner différents aspects de la kundaliní.
Non. Selon Patañjali, le but du Yôga est le samádhi. Et selon Sivánanda, « sans kundaliní il n’y a pas de samádhi ». Dès lors, sans kundaliní on ne peut atteindre le but du Yôga.
Les occidentaux ont peur de tout, en raison de l’héritage culturel judéo-chrétien et sa charge de faute et de péché.
Les dangers ne sont pas dans le travail pour réveiller cette énergie, mais dans l’arrogance de certains indisciples qui désobéissent aux recommandations de leur Maitre.
Ashtánga sádhana, bhúta shuddhi, maithuna.
La méthode orientale, ancienne et authentique préconise l’éveil de la kundaliní comme moyen correct de développer les chakras. L’occidentale, adaptée et simplifiée préfère travailler seulement sur les chakras, par peur de manier la force colossale de la kundaliní. La méthode occidentale est assurément moins efficace, motif pour lequel nous suivons la tradition orientale et ancienne.
Múládhára (LAM), swádhisthána (VAM), manipura (RAM), anáhata (YAM), vishuddha (HAM), ájñá et sahásrara (ÔM).
L’ashtánga sádhana agit intensément sur eux. Toutefois, il est nécessaire d’éviter la pratique simultanée de systèmes parallèles, supposés similaires, sous peine de sérieux risques pour notre santé physique et psychique.
Les chakras peuvent être stimulés à tourner dans n’importe quel sens. L’accélération de ce mouvement génère des phénomènes paranormaux et des états élargis de conscience. Stimulés à tourner dans le sens dextrogyre ils produisent de la force centrifuge. Dans le sens lévogyre, une force centripète, avec des phénomènes opposés. Si une personne pratique deux courants différents, elle peut léser les chakras avec des conséquences imprévisibles.
Si nous connaissons les lois qui régissent les forces des égrégores, nous savons de par l’expérience de ceux qui nous ont précédés et de par notre propre expérience que même les lectures, ou la simple participation passive à une présentation ou une conférence d’une autre longueur d’onde pourraient interférer négativement sur l’équilibre et le progrès du pratiquant.