Il ne peut pas être le père de quelque chose qui existait déjà depuis des milliers d’années.

Sêshwarasámkhya-Brahmacharya.

Mudrá (langage gestuel); pújá (circulation énergétique); mantra (vocalisations de sons et ultrasons); pránáyáma (expansion de la bioénergie); kriyá (activité de purification des muqueuses); ásana (technique corporelle); yôganidrá (décontraction); samyama (concentration, méditation et hyper-conscience)

Non. L’alimentation non-carnivore la plus ancienne est d’origine hindoue, et n’utilise pas de soja. Le soja est indigeste et pas forcément agréable au goût – qui pour nous est sacré – mais nous ne le refusons pas s’il est présent dans un plat qui nous est servi.

«  La liberté est notre bien le plus précieux. Dans le cas où nous devons la confronter avec la discipline, si cette dernière violente l’autre, optez pour la liberté. » La liberté de chercher une autre lignée philosophique.

Il ne peut pas en faire partie puisque les premières branches à surgir sont de la période Préclassique alors que le Hatha Yôga a surgi près de 4000 ans plus tard, aux alentours du XIème siècle de l’ère chrétienne.

À partir de la première année, après avoir réussi l’examen de la Fédération.

Ce fut Pátañjali. Il y a deux hypothèses quant à l’époque où il aurait vécu : la première, plus probable, est qu’il aurait vécu autour du IIIème siècle av. J-C ; la deuxième, moins probable, est qu’il aurait vécu autour du IVème siècle ap. J-C. La première hypothèse est davantage soutenue par des auteurs hindous, la deuxième par des auteurs occidentaux.

Pour le quotidien, dans le glossaire du livre Tratado de Yôga. Si nous désirons des informations plus amples et profondes, nous devons recourir au Sanskrit-English Dictionary, de Sir Monier Williams.

Ásana Yôga, Rája Yôga, Bhakti Yôga, Karma Yôga, Jñána Yôga, Laya Yôga, Mantra Yôga et Tantra Yôga.

Il suffit de ne pas rester seul, de maintenir l’élan de force de notre égrégore et participer à tout activement.

Dharma signifie « loi » et désigne n’importe quelle loi humaine, juridique religieuse ou de coutume. Beaucoup de ce que les personnes appellent karma est en réalité dharma.

Une bonne partie du karma est modifiable par qui connaît ses principes. Souvent nous pensons que le karma est immuable, mais c’est nous qui avons peur de changer. N’importe quel changement d’habitudes, d’alimentation, d’amitié, de profession a comme conséquence une altération énorme dans le karma. Quelqu’un prédisposé génétiquement à mourir d’un ulcère d’ici cinq ans pourrait changer ce karma si, simplement, il changeait de profession. (Consulter le chapitre sur le karma dans le livre Tratado de Yôga).

Garder la courtoisie, s’excuser et assumer la faute, au final, l’assurance va payer le préjudice.

Oui, il y en a une: comme la majorité des auteurs est de lignée brahmachárya ou fortement influencée par celle-ci, ils omettent le fait que le Tantra Yôga fût l’un des premiers et l’un des plus importants.

Oui, tout l’anga, et pas seulement les dernières minutes de pratique libre dé l’anga ásana.

O Dakshinacharatántrika, linha da mão direita, é muito respeitado por não utilizar fumo, álcool, carnes nem drogas, e recomendar a contenção orgástica. Já as correntes que pertencem ou se assemelham à linha medieval costumam não ser tão bem conceituadas na Índia e fora dela.

Certains courants utilisent éventuellement le ÔM au début d’une carte, d’autres à la fin de celle-ci en bas de page. Certains yôgins le place au dessus de la signature, d’autres en dessous de celle-ci. Toutefois, seul le SwáSthya utilise le ÔM incorporé à la signature, devant le nom. Aujourd’hui il y a des personnes qui copient ce procédé sans faire partie du SwáSthya, car ils trouvent cela joli, mais ce n’est pas une attitude correcte.

Tantra-Sámkhya, Brahmachárya-Sámkhya, Brahmachárya-Vêdánta et Tantra-Vêdánta.

Ashta signifie « huit »; anga, « partie »; sádhana, « pratique ». Ashtánga sádhana signifie « pratique en huit parties ». Cela constitue la première des huit caractéristiques principales du SwáSthya Yôga.

Dans le cas spécifique du Yôga Sútra, il est recommandé de lire le maximum possible de versions divergentes pour se convaincre de l’inexactitude de pratiquement toutes les traductions. (Comparez avec la réponse n°10 du troisième cours du mois de septembre.)

Assurément, oui. En plus d’augmenter la créativité, elles amplifient l’agressivité constructive.

La parole donnée est sacrée. Je sais très bien que ceux qui manquent de la respecter tombent dans l’estime de toute notre communauté. Ils perdent notre confiance et se construisent une mauvaise réputation.

Il est conseillé d’utiliser le terme « Shakta », qui désigne pratiquement la même chose et n’est pas contaminé par la vulgarisation de la presse occidentale.

Rien de tout cela. Nous avons notre propre système alimentaire, compatible avec la nature de la pratique et avec ses objectifs. Il n’est pas recommandé de suivre un autre type d’alimentation. Ni de mélanger au nôtre des éléments d’autres systèmes.

Dakshinacharatántrika-Niríshwarasámkhya Yôga.

Les jambes croisées évitent les manifestations paranormales. Ainsi, n’importe quel événement supposément « spirituel » qui a lieu pendant un cours de SwáSthya est considéré comme fraude, consciente ou inconsciente.

Dhyána désigne seulement l’état de méditation. Samyama désigne la pratique qui consiste à faire concentration, méditation et samádhi « ensemble », c’est à dire, en une seule fois. Chaque pratiquant allant jusqu’où il peut. De cette manière, dhyána ou samyama peuvent tous deux désigner le huitième anga de l’ashtánga sádhana.

Aucunement. Samádhi est un état que seul le Yôga procure. Yôga est un darshana de l’hindouisme. Nirvana est un terme bouddhiste, et le bouddhisme est une hérésie de l’hindouisme. De plus la racine /sa/ signifie « avec » et la racine /nir/, le contraire ! Seul les occidentaux très profanes commettent la gaffe de confondre les deux, en commettant l’erreur de généralisation qui était à la mode au siècle passé et qui professait : « tout mène au même endroit ».

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