Questions

Nous devons éviter ce terme, car la mauvaise information conduit les personnes à des erreurs d’interprétation.

Non. Mantra Yôga utilise uniquement des mantras ; Hatha Yôga utilise habituellement seulement ásana et pránáyáma. Parfois, certains professeurs de telle ou telle modalité ajoutent, de leur propre initiative, des angas comme mantra ou méditation à un type de Yôga qui ne les possède pas. Ce procédé est cependant considéré comme incorrect.

Le symbole du SwáSthya Yôga se nomme ashtánga yantra. Il est constitué d’un cercle, du centre duquel partent huit rayons équidistants qui dépassent la circonférence et se terminent par huit trishúlas, symboles de Shiva.

O+(1,2,3,4,5)1+(1,2,3,4,5)2+(1,2,3,4,5)3+(1,2,3,4,5)4+(1,2,3,4,5)5+(1,2,3,4,5)6+(1,2,4,5)7+ (1,2,3,4,5)8+ C = ashtánga sádhana.

À partir de la première année, après avoir réussi l’examen de la Fédération.

Múládhára (LAM), swádhisthána (VAM), manipura (RAM), anáhata (YAM), vishuddha (HAM), ájñá et sahásrara (ÔM).

La structure est composée de 3 étapes (initiale, médiane et finale), chacune avec 2 phases, pour un total de 6 phases qui sont: débutante (pré-Yôga), ashtánga sádhana, bhúta shuddhi, maithuna, kundaliní, samádhi.

Les mouvements faits vers le haut sont faits avec l’inspiration ; vers le bas avec l’expiration.

Le Yôga Préclassique, le plus ancien.

Le tronc du Yôga Classique est à peine une subdivision d’une des branches du Yôga Préclassique. Cette branche est le Rája Yôga Préclassique (qui était un chaturanga) et qui est à l’origine du Rája Yôga Classique, de Pátañjali.

En dêvanágarí, l’accent (mátrá) est représenté par un trait vertical supplémentaire placé à la suite de la lettre ; il sert à prolonger la prononciation de cette syllabe sans pour autant la rendre tonique. Dans la translittération, pour les lettres /a/, /u/, ou /i/, l’accent est aigu et pour les lettres /e/ ou /o/, l’accent est circonflexe. Cet accent n’apparaît pas seulement dans la translittération vers le français, on le retrouve dans des œuvres dans d’autres langues telles que l’anglais ou l’espagnol qui ne possèdent pourtant pas l’accent circonflexe dans leur orthographe !

En général il s’agit d’ásana et pránáyáma. Le Hatha complet est formellement constitué de yama, niyama, ásana et pránáyáma. De manière informelle, on peut y ajouter d’autres choses mais jamais les angas supérieurs tels que pratyáhára, dháraná, dhyána et samádhi. Normalement, on enlève yama et niyama et on ajoute bandhas, mudrás et kriyás.

« Restez lucides et éveillés tout le temps, en écoutant tout ce que je dis pour filtrer et assimiler seulement ce que vous voudrez. »

Originellement seul le SwáSthya Yôga utilise des séquences enchainées (chorégraphies). Ce concept d’exécution a été récupéré du Yôga antique par le Précepteur DeRose dans les années 1960. Il remonte au temps où l’Homme vénérait le soleil. Le dernier vestige de cette forme primitive d’exécution est la plus ancienne pratique du Hatha Yôga lui-même : le súrya namaskára !

Tous peuvent atteindre le but, certains avec plus de facilité d’autres moins. Chacun va atteindre un niveau proportionnel au temps, aux études et à l’engagement investis.

Aucunement. Samádhi est un état que seul le Yôga procure. Yôga est un darshana de l’hindouisme. Nirvana est un terme bouddhiste, et le bouddhisme est une hérésie de l’hindouisme. De plus la racine /sa/ signifie « avec » et la racine /nir/, le contraire ! Seul les occidentaux très profanes commettent la gaffe de confondre les deux, en commettant l’erreur de généralisation qui était à la mode au siècle passé et qui professait : « tout mène au même endroit ».

Oui. Avoir un superviseur est indispensable à l’Entrepreneur. Le supervisé n’est tenu d’aucun paiement. S’il choisit de payer la supervision pendant au moins douze mois consécutifs, il bénéficiera de prix avantageux sur les cours et événements, il aura le droit d’assister gratuitement aux cours théoriques réguliers de son Superviseur (dans le cas du Précepteur DeRose, ils ont lieu généralement les mardis à São Paulo) et sera prioritaire dans l’agenda du Superviseur pour toute sollicitation, réunion ou consultation. De plus, il pourra revalider son certificat, car les Fédérations exigent que le professeur ait un superviseur.

Les caractéristiques principales du SwáSthya Yôga sont :
1. Sa pratique extrêmement complète, qui intègre huit modalités de techniques ;
2. La codification des règles générales d’exécution ;
3. La récupération du concept archaïque de séquences enchaînées sans répétition ;

Pour le quotidien, dans le glossaire du livre Tratado de Yôga. Si nous désirons des informations plus amples et profondes, nous devons recourir au Sanskrit-English Dictionary, de Sir Monier Williams.

On doit en lire plusieurs pour confirmer que la majorité sont hallucinées, car les traducteurs ne sont pas des étudiants du Yôga ou, quand ils le sont, ne sont pas spécialisés dans la lignée Sámkhya, qui est celle professée par ce livre. (Comparer cette réponse avec la question n°7 du premier cours d’octobre.)

Il suffit de ne pas rester seul, de maintenir l’élan de force de notre égrégore et participer à tout activement.

Parfaite identification avec notre proposition ; grande amitié envers les collègues ; viser à atteindre un meilleur niveau socio-culturel ; compétences ; discipline ; vocation ; idéalisme ; une grande honnêteté ; une volonté phénoménale de réussir. Le reste vient plus tard.

Elle représente l’OUVERTURE de la pratique. Son texte standard est : « Nous commençons notre pratique de SwáSthya Yôga en nous asseyant dans n’importe quelle position stable et confortable, avec les jambes croisées et le dos droit. »

Oui. Il existe des incompatibilités entre certaines catégories de techniques que seul le temps et l’expérience pourront enseigner car de telles incompatibilités n’obéissent à aucune règle précise. D’où la nécessité d’un superviseur.

a) Pour les chorégraphies de démonstration — peu de temps (une seconde);
b) pour les cours en groupe — temps moyen (variant en fonction du ásana);
c) pour un entraînement à la maison — beaucoup de temps (conformément au bon sens).

Toutes les écoles utilisent le Ômkara, qui est le tracé de la syllabe ÔM. C’est le même, mais il n’est pas identique, car chacune adopte un dessin spécifique qui la distingue et établit des relations dans l’inconscient collectif avec les forces des Ancêtres de sa lignée. Il n’est pas éthique d’utiliser le tracé d’une autre École.

Il ne peut pas être le père de quelque chose qui existait déjà depuis des milliers d’années.

Le karma n’est ni bon ni mauvais. Il s’agit juste d’action et de réaction.

Múladhára correspond au yama-niyama; swádhistána, au ásana; manipura, au pránáyáma; anáhata au pratyahára, vishuddha, au dhárána; ájña au dhyána et sahásrara, au samádhi.

Sopas, feijões, farofas, batatas assadas, cozidas ou fritas, purés, suflés, empadões, tortas salgadas, legumes à milanesa, empanados, à doré, au gratin, pizzas, empadas, pastéis, rissolis, croquetes, quibes sem carne, tabules, esfihas, assados de legumes, lasagnas e outras massas, ou seja, tudo o que você consome no seu dia-a-dia. Menos carnes.

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