Questions

On doit en lire plusieurs pour confirmer que la majorité sont hallucinées, car les traducteurs ne sont pas des étudiants du Yôga ou, quand ils le sont, ne sont pas spécialisés dans la lignée Sámkhya, qui est celle professée par ce livre. (Comparer cette réponse avec la question n°7 du premier cours d’octobre.)

Beaucoup des termes sanscrits n’ont pas de traductions exactes dans les langues modernes. C’est le cas du terme samádhi.

Non. Les acides aminés essentiels se trouvent dans les végétaux en général. Comme personne ne mange que des carottes ou que de la salade, mais que nous avons un régime divers et varié, il est évident que les acides aminés essentiels sont fournis.

Oui, seul le SwáSthya Yôga utilise l’ashtánga sádhana. Ceux qui l’ont adopté l’ont sous l’influence du SwáSthya.

À partir de la première année, après avoir réussi l’examen de la Fédération.

Soupes ; haricots ; pommes de terre au four, cuites ou frites ; purées ; soufflés ; tartes salées ; légumes à la milanaise, pannés, à la poêle, en gratin ; pizzas ; risottos ; croquettes de légumes ; taboulés ; lasagnes et autres pâtes ; tout ce que vous consommez au quotidien. Sauf la viande.

Assurément, oui. En plus d’augmenter la créativité, elles amplifient l’agressivité constructive.

Sabíja samádhi et nirbíja samádhi.

Le tronc du Yôga Classique est à peine une subdivision d’une des branches du Yôga Préclassique. Cette branche est le Rája Yôga Préclassique (qui était un chaturanga) et qui est à l’origine du Rája Yôga Classique, de Pátañjali.

Ce fut Pátañjali. Il y a deux hypothèses quant à l’époque où il aurait vécu : la première, plus probable, est qu’il aurait vécu autour du IIIème siècle av. J-C ; la deuxième, moins probable, est qu’il aurait vécu autour du IVème siècle ap. J-C. La première hypothèse est davantage soutenue par des auteurs hindous, la deuxième par des auteurs occidentaux.

Pour une pratique complète de SwáSthya Yôga, le numéro minimum de ásanas est huit, car on doit prendre en compte les ásanas des angas initiaux (mudrá, pújá, mantra e pránáyáma) et du yôganidrá.

Mudrá (langage gestuel); pújá (circulation énergétique); mantra (vocalisations de sons et ultrasons); pránáyáma (expansion de la bioénergie); kriyá (activité de purification des muqueuses); ásana (technique corporelle); yôganidrá (décontraction); samyama (concentration, méditation et hyper-conscience)

Si nous connaissons les lois qui régissent les forces des égrégores, nous savons de par l’expérience de ceux qui nous ont précédés et de par notre propre expérience que même les lectures, ou la simple participation passive à une présentation ou une conférence d’une autre longueur d’onde pourraient interférer négativement sur l’équilibre et le progrès du pratiquant.

Il s’agit d’une technique de sublimation et cela consiste en plusieurs étapes de stimulation et de gestion de la libido.

Le karma n’est ni bon ni mauvais. Il s’agit juste d’action et de réaction.

L’ashtánga sádhana agit intensément sur eux. Toutefois, il est nécessaire d’éviter la pratique simultanée de systèmes parallèles, supposés similaires, sous peine de sérieux risques pour notre santé physique et psychique.

Non. Tantra est une chose, le Yôga une autre. La fusion des deux a donné le Tantra Yôga. Nous ne pratiquons pas le Tantra Yôga, mais le SwáSthya Yôga, qui possède des racines comportementales du Tantra Blanc.

À travers des techniques qui sont transmises dans des œuvres sérieuses sur le thème.

Elle est considérée comme étant d’un Yôga avancé dû à:
a) l’utilisation d’une pratique pour débutants extrêmement complète, avec 8 angas;
b) l’application d’un nombre considérable de techniques avancées; et
c) l’accélération évolutive qu’elle permet au pratiquant.

Aucunement. Les règles générales ont toujours existé implicitement, mais elles ont été découvertes par le Systématiseur DeRose, de même que la force de gravité a toujours existé mais elle a dû être découverte par Newton.

Non. Tous ceux qui donnent des cours sont des partenaires qui s’associent dans les dépenses et bénéfices, à travers le processus d’Administration Participative. Personne n’est patron, ni employé.

Elle représente la CLÔTURE de la pratique. « [Nous terminons notre méditation] clôturant, ainsi, la pratique de l’ashtánga sádhana en ouvrant les yeux, passant les mains au prônam mudrá et en nous saluant avec le terme ‘SwáSthya!’ « 

Il ne peut pas en faire partie puisque les premières branches à surgir sont de la période Préclassique alors que le Hatha Yôga a surgi près de 4000 ans plus tard, aux alentours du XIème siècle de l’ère chrétienne.

Un Maître est un professionnel qui connait profondément un art ou une technique, il la connaît suffisamment pour enseigner et/ou superviser d’autres spécialistes. C’est le cas du Maître d’œuvre, du Maître de Kung-fu, du Maître de Capoeira, tous de simples individus mais dont l’autorité dans leur domaine n’est pas remise en question.

Les caractéristiques principales du SwáSthya Yôga sont :
1. Sa pratique extrêmement complète, qui intègre huit modalités de techniques ;
2. La codification des règles générales d’exécution ;
3. La récupération du concept archaïque de séquences enchaînées sans répétition ;

Préclassique (TS), classique (BS), médiéval (BV), contemporain (TV).

Principles of Tantra, ou Shakti et Shakta, tous deux du magistrat britannique Sir John Woodroffe.

Ce sont : le physique, l’émotionnel (appelé astral), le mental, l’intuitionnel, et le monadique. Après, l’anupádaka et l’ádi.

Non. Le Hatha n’a pas d’anga de décontraction, mais un ásana de relaxation, nommé shavásana. Il est donc inclus dans l’anga ásana.

Nous appelons Réseau DeROSE l’ensemble des entités (écoles, centres culturels, associations, fédérations et autres entreprises) mais aussi les professeurs et entrepreneurs qui travaillent avec la DeROSE Method – et leurs élèves -, formant un réseau international d’échanges de connaissances, d’informations et d’entre-aide.

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