Aucunement. Samádhi est un état que seul le Yôga procure. Yôga est un darshana de l’hindouisme. Nirvana est un terme bouddhiste, et le bouddhisme est une hérésie de l’hindouisme. De plus la racine /sa/ signifie « avec » et la racine /nir/, le contraire ! Seul les occidentaux très profanes commettent la gaffe de confondre les deux, en commettant l’erreur de généralisation qui était à la mode au siècle passé et qui professait : « tout mène au même endroit ».
Sêshwarasámkhya-Brahmacharya.
Pilates, ayurvêva, tai-chi, méditation transcendantale, bioénergie, biodance, massages, parapsychologie, macrobiotique, probiotique, unibiotique, zen, bouddhisme, contrôle mentale, astrologie, compositions florales, cristaux, neurolinguistique, rei-ki, shiatsu, do-in, acuponcture, chamanisme, Cabale, ésotérisme, magie, feng-shui, luminothérapie, rolfing, eutonie, thérapies, choses mystiques, spirituelles, zen, alternatives ou des choses bizarres à la mode.
Renforcer santé et vitalité afin de préparer le pratiquant à supporter les énormes altérations biologiques qui auront lieu lors de la phase finale, comme résultat de l’évolution personnelle accélérée.
Translittération.
Beaucoup des termes sanscrits n’ont pas de traductions exactes dans les langues modernes. C’est le cas du terme samádhi.
Yôga Médiéval et Yôga Contemporain.
Les termes techniques du judo, en japonais, ne sont pas traduits ; ni ceux de la musique, en italien ; ni ceux du ballet en français ; ni ceux du kung-fu, en chinois. Quelqu’un a déjà pensé traduire windsurf, savoir- faire, ombudsman, habeas corpus ou allegro ma non troppo ? Alors ce questionnement est inadmissible envers les termes du Yôga.
Le SwáSthya Yôga est considéré orthodoxe lorsque toutes les caractéristiques sont observées et hétérodoxe lorsqu’elles sont toutes respectées sauf la première (l’ashtánga sádhana).
Le plan physique correspond à l’inconscient ; le plan émotionnel, au subconscient ; le mental au conscient ; l’intuition au super-conscient; et le monadique (samádhi), à l’hyper-conscient.
Elle représente la CLÔTURE de la pratique. « [Nous terminons notre méditation] clôturant, ainsi, la pratique de l’ashtánga sádhana en ouvrant les yeux, passant les mains au prônam mudrá et en nous saluant avec le terme ‘SwáSthya!’ «
Oui. Aucune œuvre publiée avant les livres du Précepteur DeRose ne mentionne ces règles. Ceux qui ont adopté les règles après 1960 l’ont fait influencés par le SwáSthya.
Les différences sont : la proposition la méthode, la tranche d’âge, le climat émotionnel, le langage, le niveau culturel et l’envergure des enseignements.
Plusieurs existent. Chaque langue privilégie un système différent. Pour cette raison, les livres de Yôga traduits vers d’autres langues contribuent à installer la confusion sur le thème.
Elle représente l’OUVERTURE de la pratique. Son texte standard est : « Nous commençons notre pratique de SwáSthya Yôga en nous asseyant dans n’importe quelle position stable et confortable, avec les jambes croisées et le dos droit. »
Préclassique (TS), classique (BS), médiéval (BV), contemporain (TV).
Les amis et la famille constituent le plus important facteur de changement ou de stagnation, car ils peuvent stimuler ou s’opposer aux propositions de changement de vie de chaque membre de son cercle.
Elle augmente considérablement car elle suit son court sans les restrictions intellectuelles, logiques, mnémoniques ou associatives.
Darshana signifie « optique, vision ou point de vue ». Les darshanas constituent les six points de vue à travers lesquels on peut interpréter l’hindouisme. Yôga est l’aspect strictement pratique. Les autres sont : Sámkhya, Vêdánta, Purva Mimansa, Nyaya et Vaishêshika.
Il suffit de consulter le Collège des Présidents de Fédérations ou le Conseil Administratif.
Principles of Tantra, ou Shakti et Shakta, tous deux du magistrat britannique Sir John Woodroffe.
Toutes les écoles utilisent le Ômkara, qui est le tracé de la syllabe ÔM. C’est le même, mais il n’est pas identique, car chacune adopte un dessin spécifique qui la distingue et établit des relations dans l’inconscient collectif avec les forces des Ancêtres de sa lignée. Il n’est pas éthique d’utiliser le tracé d’une autre École.
Non. Le Hatha n’a pas d’anga de décontraction, mais un ásana de relaxation, nommé shavásana. Il est donc inclus dans l’anga ásana.
Elle est considérée comme étant d’un Yôga avancé dû à:
a) l’utilisation d’une pratique pour débutants extrêmement complète, avec 8 angas;
b) l’application d’un nombre considérable de techniques avancées; et
c) l’accélération évolutive qu’elle permet au pratiquant.
Selon le Vêdanta, l’Átman conserve à peine trois attributs : sat, chit, ánanda. Selon le Sámkhya, le púrusha n’a pas d’attribut.
Un Maître est un professionnel qui connait profondément un art ou une technique, il la connaît suffisamment pour enseigner et/ou superviser d’autres spécialistes. C’est le cas du Maître d’œuvre, du Maître de Kung-fu, du Maître de Capoeira, tous de simples individus mais dont l’autorité dans leur domaine n’est pas remise en question.
1. Notre Yôga n’a pas de proposition spiritualiste.
2. Notre méthode de Yôga n’a pas de prétentions thérapeutiques.
3. Le SwáSthya Yôga a une pratique orthodoxe plus complète.
4. La modalité hétérodoxe est extrêmement malléable et adaptable.
Nous ne devons jamais entrer dans cette voie, sous aucune hypothèse. Nous devons avoir plus d’estime de soi.
Pátañjali.
Il ne faut pas donner le cours toujours de la même façon. Il y a plusieurs méthodes de cours bien distinctes dont l’utilisation régulière enrichit beaucoup votre méthodologie, accélère l’apprentissage du pratiquant et induit à tous, professeurs et élèves à se surpasser.