Questions

Elle est considérée comme étant d’un Yôga avancé dû à:
a) l’utilisation d’une pratique pour débutants extrêmement complète, avec 8 angas;
b) l’application d’un nombre considérable de techniques avancées; et
c) l’accélération évolutive qu’elle permet au pratiquant.

Dhyána désigne seulement l’état de méditation. Samyama désigne la pratique qui consiste à faire concentration, méditation et samádhi « ensemble », c’est à dire, en une seule fois. Chaque pratiquant allant jusqu’où il peut. De cette manière, dhyána ou samyama peuvent tous deux désigner le huitième anga de l’ashtánga sádhana.

Oui. Notre tradition fait partie de l’hindouisme. C’est un des six darshanas de l’hindouisme.

Tantra-Sámkhya, Brahmachárya-Sámkhya, Brahmachárya-Vêdánta et Tantra-Vêdánta.

Gôrakshanatha (aussi appelé Gôraknath). Il a vécu aux alentours du XIème ap. J-C. et sa lignée était Tantra-Vêdánta, plus précisément de la subdivision Kaulacharatántrika, une variante de tantrisme noir atténué.

Oui. Il existe des incompatibilités entre certaines catégories de techniques que seul le temps et l’expérience pourront enseigner car de telles incompatibilités n’obéissent à aucune règle précise. D’où la nécessité d’un superviseur.

Le kripá est le toucher du Maitre, qui transmet de la force.

Parfaite identification avec notre proposition ; grande amitié envers les collègues ; viser à atteindre un meilleur niveau socio-culturel ; compétences ; discipline ; vocation ; idéalisme ; une grande honnêteté ; une volonté phénoménale de réussir. Le reste vient plus tard.

Les premières conséquences se manifestent sur la région musculaire et articulaire. Si le pratiquant continue à exécuter la séquence déséquilibrée, des problèmes de colonne pourront surgir. Ensuite organes internes, circulation, système endocrinien etc. pourront être affectés.

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